Coucou les amis !
Nous revoilà pour continuer à vous raconter tous nos périples.
Alors voilà, contrairement à ce que l’on vous a dit la dernière fois, on s’est tout de même aventuré jusqu’au French Pass. Le temps s’est amélioré, donc on s’est lancé. Le trajet a été long, très long, mais splendide. On était en hauteur avec vu sur les détroits. Les avancées de terres dans la mer sont vraiment splendides. On a adoré, même s’il nous a fallu plus de 2 h 30 pour rejoindre le point voulu. Sur place, on a fait connaissance avec un Weka. C’est un oiseau sans ailes, apparemment cousin du kiwi, endémique de Nouvelle-Zélande : une espèce protégée en voie de disparition. Ce petit animal curieux est venu nous voir lorsque l’on sortait de la voiture. Il est resté à nous regarder. On a alors partagé de la salade avec lui et pris de nombreuses photos. On est ensuite allé voir un superbe point de vue. À notre retour, il nous attendait. Malheureusement, il nous a fallu le quitter, on avait prévu de faire une autre balade. On s’est ensuite rendu sur une plage du détroit. Là, j’ai ramassé (en très grands nombres), l’opercule d’un mollusque tel que le bigorneau, celui que l’on utilise pour faire les bijoux, et qu’à Marseille on vend en tant que porte-bonheur (sous le nom d’« œil de sainte Lucie »). On est ensuite retourné sur nos pas, pour rejoindre Picton où l’on devait prendre le ferry.
Comme nos amis suisses avaient croisé dauphins et orques pendant la croisière, je me suis dit « je ne louperais rien, je reste sur le ponton ». Donc, pendant 3 h 20 je me suis gelée. Il y avait un vent de folie, et mes deux sous-pulls, mon Damart, mon gilet et mon blouson n’ont pas suffi à me réchauffer. Le paysage était splendide, mais le bateau étant long, peu changeant. Et, ni dauphins, ni orques, ni quoi que ce fut, n’a montré le bout de son nez. Tristan, moins courageux, avait profité de la salle chauffée pour lire un peu, et je crois finalement qu’il a eu raison.
On est arrivé à Wellington tout excités. Notre bref passage dans cette ville en décembre dernier nous avait enchantés. On avait hâte d’y être à nouveau, ce pour quoi on s’y est attardé quelques jours. En plus, cette ville offre plusieurs endroits en bord de mer où l’on peut rester, ainsi qu’une douche chaude, et tout cela est gratuit. On est donc redevenu des citadins. On a visité Te Papa Museum, le plus gros musée de Nouvelle-Zélande, lui aussi gratuit. Il nous a fallu deux jours entiers pour tout voir, et on a adoré.
– visité les studios Weta (ceux qui ont fait le Seigneur des anneaux, Avatar, le monde de Narnia…)
– dégusté un mochachino chez le célèbre torréfacteur Caffe L’Affare
– déambulé en ville
– marché en bord de mer en compagnie de multiples otaries
– chiné dans les magasins d’occasion (on s’est offert un Levis chacun à moins de 10 euros. On a été raisonnable et on n’a rien acheté d’autre même s’il y avait de quoi refaire toute notre garde-robe)
Sinon, on est aussi retourné chez le garagiste. Et oui, le van c’est tout ce qu’on a, alors à la moindre petite chose qui cloche on court le réparer. On a découvert que l’on perdait de l’huile de transmission. On savait que ce n’était pas bien grave, mais on a préféré s’en assurer. Donc direction le spécialiste de la transmission. En effet, ce n’était pas grand-chose, le joint était trop vieux, il fallait juste le changer. Alors, comme le garagiste n’en avait pas de nouveau, il a posé un mastic. Pendant ce temps-là, nous on a observé. On s’est rendu compte que ce qu’il faisait était bien simple et qu’on aurait pu le faire tout seul. À la fin de son intervention, il nous a facturé environ 200 dollars. On est reparti énervés, c’est chère payé pour un joint…
Et vous savez quoi ? Une demi-heure après, on s’est rendu compte que l’huile coulait encore plus qu’avant. Là, on s’est vraiment énervé. On l’a appelé et il nous a dit de repasser le lendemain matin. Le lendemain, on y est bien sûr retourné. Son collègue nous a refait toute l’opération. Pendant ce temps-là, l’autre rigolait, buvait son thé et continuait de vanter ses propres qualités et celle de son garage. Il a même fini par nous demander de payer le prix du joint qu’ils avaient acheté spécialement pour nous après notre coup de fil. Là, c’était trop, on l’a envoyé balader. On était furieux et on n’a rien payé de plus. Cette affaire finit (le liquide ne coule plus), on a retrouvé le sourire.
Après cela, on est venu profiter de la bibliothèque. Le froid extérieur n’encourageait pas les balades. Demain, on quitte Wellington. Cette capitale est magnifique, mais le vent froid y est trop présent. On va donc commencer la visite de la côte ouest de l’île du nord et ses volcans.
Et en France, comment ça se passe ? Nous on vous écrit des romans. Maintenant, on veut les vôtres.
Bisous à tous !
mes enfants j’avoue que nous sommes vraiment surpris de voir toutes ces belles photos elles sont de plus en plus jolies . à se demander si ceci est réel en tout cas je vous remercie de nous faire partager toutes vos virées ….. mais le froid commence à se faire sentir vivement le retour en FRANCE je dis cela car j’ai hâte de vous revoir en tout cas il faut profiter du temps présent et vous en mettre plein les mirettes vous garderez de superbes souvenirs et peut-être quelques regrets et l’envie d ‘y retourner car il a tant de bels endroits que vous n’aurez surement pas visité enfin il vous reste encore deux mois donc ! de petites escapades à prévoir et à nous de découvrir. à part cela ici c’est la routine toujours à faire si ce n’est dans mon petit jardin ( fleurs) salades et tomates .il me reste encore les peintures extérieur à faire mais le temps n’est pas toujours favorable. ma santé est bonne heureusement . vous souhaitant de même à vous deux . bon week-end …..je vous embrasse très très fort à plus tard bisous encore et
encore